Je pensais avoir enfin trouvé un moyen de vivre... selon mes "moyens" et bien je dois partir d'ici pour faire face une fois de plus aux malversations d'un bien triste sire qui me poursuit depuis de nombreuses années d'une bien triste manière.
Je crois fermement que l'on reçoit de l'univers ce que l'on y envoie. Je n'aimerais pas être à sa place.
J'espère que je vous aurai fait un peu rêver.
J'ai moi-même rêvé. J'ai pensé que je pourrais enfin vivre un peu en paix. Souffler après ces années de lutte.
Ce fut une bien brève illusion.
Mais pendant ce temps, j'ai été pleinement heureuse. Il n'a manqué qu'une chose à mon séjour: la présence de mes deux p'tits loups. Et lorsque j'aurais surmonté ce petit coup dur, je recommencerai à croire à la vie, au bonheur et j'aurais enfin tout ce que je mérite et que je ne m'accorde pas depuis si longtemps.
J'espère qu'un jour je pourrais revenir dans ce pays où l'on peut vivre tellement bien avec si peu. Et j'espère qu'un jour je pourrais vous parler à nouveau de ce pays où chaque jour je m'aperçois que je sais un peu moins de lui.
Je vais vraiment me mettre à écrire ce livre qui n'en finit pas de revenir me tourmenter car je ne pourrais pas écrire autre chose avant de l'avoir fait.
Pour le moment, je fais une pause dans ce blog. Je vous avertirai quand je recommencerai à y écrire car j'ai encore beaucouo de photos que je ne vous ai pas fait partager. Et vous n'avez toujours pas vu les marchandes de poissons. Damned!
Merci à vous de m'avoir lue.
vendredi 19 juin 2009
lundi 15 juin 2009
VOYAGE AU BOUT DE MA RUE
Ma routine du matin a changé depuis que mon estomac s'est révolté contre le piment indien. Il est devenu timide et j'évite en ce moment de le confronter de si bon matin avec les chutneys délicieusement explosifs de Madame Simone. En ce moment, au grand dam de "Momone" qui croit que je n'aime plus sa cuisine, je me "contente" d'une baguette bien croustillante avec du thon, un oeuf dur et quand même, parfois, un peu de chutney de coco pour remplacer le beurre.
Pour aller chercher mon pain, je pars tous les matins vers 6H30 car plus tard, il fait bien trop chaud pour pouvoir marcher. Lorsque j'ouvre ma porte je trouve les trois voitures de police entourées d'une nuée de policiers qui se racontent leurs missions de la nuit. Ils adorent Bonnie et jouent avec elle tandis que je leur demande comment s'est passé leur nuit. Je dois leur consacrer cinq bonnes minutes, sans quoi ils semblent ne pas être contents quand je m'éloigne. Trois voitures de flics pour surveiller mes nuits c'est précieux. Alors je fais amie amis avec eux. Pourtant je peux vous assurer qu'ils devraient entendre les gargouillements de faim de mon estomac révolté et me laisser partir plus vite!
Ensuite la rue s'élargit et j'arrive à la "salle de bains" en plein air. Tout d'abord, sur ma droite, il y a une petite cahute faite de planches branlantes avec, devant la porte d'entrée, une vieille table en bois brut pour mettre la caisse de recette: ce sont les toilettes municipales. Les planches laissent passer les odeurs... Heureusement qu'à cette heure matinale, quand je passe devant,
la température est raisonnable, donc l'odeur aussi. Ensuite j'atteins LE robinet public. Toute la journée, les indiens viennent s'y laver, faire le plein d'eau pour la maison, laver leur linge ou bien même les casseroles des cuisines ambulantes que je vois le long des rues plus passantes. L'activité autour de ce point d'eau est toujours impressionante: des enfants s'amusent tous nus, les chiens viennent se rafraîchir, les femmes y laver leurs cheveux... Une vieille cuisine ambulante a été abandonnée le long du mur juste après la "salle de bains".

Sur la droite une maison est en chantier. Et tous les matins mon odorat est agréablement chatouillé par des odeurs d'oignons frits. C'est une cuisine en plein air: la casserole est posée sur deux briques et chauffe sur de maigres bouts de bois. Je m'arrête discuter avec les ouvriers et je les regarde faire leur tambouille du
matin. Après les oignons, du boeuf en morceaux (pas végétarien ça!) et des piments. Leur estomac est plus solide que le mien! J'apprends que le propriétaire est en train de refaire une maison pour le frère de mon propriétaire. La famille quoi!
Bonnie s'arrêterait volontiers plus longtemps mais je recommence à avoir faim. Allez la crevette on continue!
Le long du premier mur sur ma gauche, il y a un grand tas de noix de cocos vides. Depuis deux mois qu'il est là, il ne grandit pas mais ne diminue pas non plus. Les femmes qui nettoient les rues de Pondi avec leur balai de palmes ne semblent pas venir dans cette rue. Ou alors elles trouvent que ce tas de coco est bien joli et décore le mur jaune du terrain vague qui est derrière.
Juste après le premier croisement, sur la droite, il y a la fabrique de cercueils. A cette heure ci les ouvriers ne travaillent encore pas ce qui m'évite de passer au milieu des "boites" en métal ou en bois qu'ils laissent traîner le long des trottoirs. Ce n'est pas forcément la première chose que j'ai envie de côtoyer à chacun de mes débuts de journée.
La peinture de la majorité des maisons est "pastel" car complètement délavée mais il y en a certaines qui n'hésitent pas à clamer haut et fort que nous sommes... en Inde, pays haut en couleurs!
Sur la droite une maison est en chantier. Et tous les matins mon odorat est agréablement chatouillé par des odeurs d'oignons frits. C'est une cuisine en plein air: la casserole est posée sur deux briques et chauffe sur de maigres bouts de bois. Je m'arrête discuter avec les ouvriers et je les regarde faire leur tambouille du
Bonnie s'arrêterait volontiers plus longtemps mais je recommence à avoir faim. Allez la crevette on continue!
Presque à la fin de ma rue, il y a un parking, je dirais plutôt un cimetière à scooters. Sur le trottoir. Mais aucun de risque de PV... ni de vols d'ailleurs vu l'état des bestiaux.
Enfin j'arrive à mon coffee/chaï booth. Une gargotte qui fait du chaï délicieux. Je m'asseois pour le déguster: brûlant, sucré à
souhait. J'allume une petite clope et je regarde autour de moi. Toutes les odeurs sont des images à elles seules. J'attends ainsi qu'il soit 7H car la boulangerie où je vais n'ouvre pas avant. Les passants me regardent d'un oeil amusé car je suis bien sûr la seule blanche qui ose s'aventurer à cette heure ci dans les rues désertes. Et qui boive dans des verres lavés et relavés dans la même bassine d'eau de 50 cl. Parfois les dames qui nettoient les rues nous forcent à nous lever et balayent en soulevant des montagnes de poussières. Je dois alors protèger mon verre avec ma main pour éviter d'y recevoir des hôtes indésirables.
Je prends à droite dans une plus grande avenue. Au carrefour de ma rue avec Lal Bahadur Shastri Sreet, la plaque n'est plus française mais carrément indienne teintée américaine. Dommage. je préfère celle que je vous ai montrée au début de ces posts.

Les voitures et les bus roulent comme des dingues dans cette rue. J'essaye de convaincre Bonnie de marcher sur les trottoirs mais entre les plaques d'entrée de parking, les trous dans les trottoirs, les marchandes mangue qui installent leur éventaire sur toute la largeur du trottoir, les vélos, les poubelles, les affiches arrachées... elle a beaucoup de mal à pouvoir y rester.
Bonnie ne s'en plaint pas. Elle adore l'Inde. A Los Angeles, aucun chien ne se promène en liberté. Il n'y a pratiquement pas d'odeurs. Alors qu'ici et bien pour elle c'est... DISNEY WORLD! Des dizaines de chiens, les vaches, les chèvres, les restes de repas... Et regardez la taille des cacas! Tous les jours c'est la fête!
Enfin j'arrive à ma destination finale : Baker Street. THE boulangerie in Pondi.
Lorsque j'arrive devant la devanture, il est toujours un peu trop tôt. 7H c'est l'heure d'ouverture officielle mais pas l'heure indienne. Alors je m'asseois sur les marches et j'attends la livraison des pains et des viennoiseries qui se fait... en rickshaw.

Ca valait la peine d'attendre non? Pour vous, cette photo vous parait bien naturelle mais je vous rappelle que je suis en INDE et pas à Paris!
Ca valait la peine d'attendre non? Pour vous, cette photo vous parait bien naturelle mais je vous rappelle que je suis en INDE et pas à Paris!
Avec mon pain tout chaud, je refais le chemin inverse. La soupe des ouvriers sent de plus en plus bon, les fabricants de cercueils ont ouvert les rideaux de leur "usine" et les policiers se mettent en civil pour rentrer chez eux. Et moi je croque dans un crouton tout chaud.
Elle est pas belle la vie?
samedi 13 juin 2009
LE MARCHE AUX FLEURS
Les fleurs, dans le marché Goubert, sont une affaire d'hommes. Ce sont eux qui tressent les guirlandes lourdes, eux qui font les gerbes, eux qui vendent le jasmin aux femmes qui les tressent pour les revendre dans les rues, aux indiennes qui se décorent les cheveux avec ces fleurs qui embaument.
Et remarquez avec quel souci d'esthétisme ils assortissent leur chemise ou bien le plastique qui les protège du soleil avec la couleur des fleurs qu'ils vendent!
Et celui là, il a perdu quoi à votre avis sous son étal?
Mais j'ai découvert une utilisation que je n'avais pas encore vue: embellir les magasins. Ici vous voyez des hommes les pendre autour de la devanture d'une patisserie dans Neruh street.
Et celui ci prépare les feuilles de bethel qui entourent une pâte très odoriférente à base de clous de girofle et d'herbe. Ces "bouchées" sont servies à la fin du thali. Digestion? Mauvaise haleine?
J'ai adoré ce coin abandonné du marché aux fleurs...
vendredi 12 juin 2009
MISE EN PAGE
Je mets plus de temps à corriger les erreurs de mise en page qui s'affichent quand je publie mes messages qu'à vous les écrire. Et quand je parle de mise en page, je veux juste éviter que vous ayez UNE LETTRE par ligne à côté d'une photo car.... c'est un peu difficile à lire. Alors parfois, je baisse les bras: quand c'est à peu près lisible, même si la mise en page est ridicule, j'abandonne...
jeudi 11 juin 2009
LE MARCHE VERT
C'est décidé, ce matin pas de café, pas de plage, pas de piscine... Je pars à 6H30 pour le marché Goubert, le marché couvert de Pondicherry. Les rues sont désertes, il fait frais et je roule tranquillement jusqu'aux rues que j'ai repérées de
rrière le marché.
Beaucoup d'hommes (restaurateurs, cuisiniers, marchands) viennent s'approvisionner et j'assiste à des scènes savoureuses entre ces hommes qui ont l'habitude de voir leurs femmes leur céder sur tout et les marchandes qui ne veulent pas se laisser avoir.

Les acheteurs arrivent à mettre sur des petites motocyclettes un nombre impressionnant de paquets de toute sorte.
Les femmes, elles n'ont pas d'engins motorisés, alors elles se débrouillent avec les moyens du bord. 
Là tout change. Je dois garer mon scooter car les rues sont totalement bouchées. Malgré l'heure matinale, elles sont bondées car c'est là que, en toute illégalité, des femmes viennent vendre la production de leurs champs ou bien ce qu'elles ont glané dans les manguiers, les cocotiers, les pruniers ou autres...

Ces femmes sont les "grossistes" en herbe. Mais le temps que j'arrive à trouver une place pour le scooter, il est un peu trop tard: les tas de menthe, de cotamali (coriandre), de palak (épinards), de curry leaves et autres herbes aux senteurs épicés ont baissé. Ils peuvent faire jusqu'à un mètre de haut mais là, je suis décue... Tout a presque disparu.
Beaucoup d'hommes (restaurateurs, cuisiniers, marchands) viennent s'approvisionner et j'assiste à des scènes savoureuses entre ces hommes qui ont l'habitude de voir leurs femmes leur céder sur tout et les marchandes qui ne veulent pas se laisser avoir.
Homme : Je t'en prends 6 brassées, je te donne 50 roupies.
Marchande : non c'est 10 par brassées. 60 roupies.
Il y en a partout! Celui-ci n'était pas content du tout que je le prenne en photo car il avait bien du mal à garder son équilibre.
Quelques coolies livrent à pied, celui-ci portent deux énormes "jack fruit", qui sont dépecés en tous petits morceaux et vendus sur des carioles le long des rues. Leur goût est doucereux mais pas désagréable.
La une femme ramasse des branches tombées dans le caniveaux pour les revendre ou en faire sa soupe.
Entre les marchandes, l'ambiance est décontractées. Elles papotent et semblent bien s'entendre. Elles rient, boivent du thé
et chahutent avec leur enfants. Je vais rentrer dans le marché Goubert lui-même avant qu'il ne fasse trop chaud et vous emmener voir le marché aux fleurs et surtout les fameuses poissonières!
lundi 8 juin 2009
La loi du plus lourd
Merci à toutes et à toutes pour les centaines de messages de condoléances que vous m'avez envoyés suite à mon cri de détresse. Savoir que vous avez souffert dans votre chair de la perte de cet ami précieux m'a permis de mieux l'accepter.
I- L'état des routes et des rues

En plus des trous dans la chaussées, les rues sont parfois tellement étroites que je me demande comment les rétroviseurs extérieurs peuvent encore exister sur les voitures. Les photos 2 & 3 vous montrent une rue et l'espace qui reste entre la voiture et les murs de chaque côté... No comment.
Pour commencer je ne résiste pas à vous montrer cette photo du bus qui détonne complètement par rapport aux autres véhicules. Regardez bien le signe au-dessus de la porte: un logo DTS, que je n'ai pas bien sûr pas résisté à photographier.






Surtout que je l'ai retrouvé. Mon troisième oeil. Et il m'est précieux.
Lorsque je suis partie à Villaniur, je vous ai dit que je vous parlerai de la circulation en Inde. Et bien allons-y. J'ai parcouru pendant de longues semaines les rues de Srinagar, celles de Chennai, je circule tous les jours en scooter dans celles de Pondichery et je m'aventure parfois dans d'autres villes moins civilisées. Mais peu importe. La circulation est la même. Hallucinante. Dans n'importe laquelle de nos villes, si les voitures et les scooter se côtoyaient avec les mêmes "règles" - car l'absence de règles en constitue une - ce serait une hécatombe. Mais vue la démographie galopante qu'il y a dans ce pays, ce n'est pas le cas ici et c'est une preuve de l'existence de leurs Dieux!
Il y a trois domaines à prendre en considération dans la folie circulationnesque.
I- L'état des routes et des rues
II- La composition du "parc automobile"
III- Le "code" de la route.
I- L'état des routes et des rues
II- La composition du "parc automobile"
III- Le "code" de la route.
I- L'état des routes et des rues
Commençons par l'état des routes. Les politiciens ici sont les mêmes que partout ailleurs. Ils ne font de la politique que pour s'en mettre plein les poches. Tout l'argent destiné à la voierie passe directement dans des comptes en banque privés. A tel point que ce sont les habitants des quartiers qui se cotisent pour faire réparer leurs rues. Ma copine Benazir est vétérinaire. Je l'ai rencontré
e au Sunday Market de Srinagar. Je vous en reparlerai plus tard lors d'un post consacré aux femmes indiennes et à leurs problèmes. Elle m'a raconté que dans son quartier il y avait une telle "absence de rues" que les écoliers arrivaient avec de la boue jusqu'à mi mollet et, malgré leurs uniformes bien repassés, ils se faisaient renvoyer chez eux par leurs professeurs car ils salissaient les salles de classe. La seule solution, pour les familles qui habitaient ce quartier, a été de créer une association qui a fait la quête auprès des habitants pour faire réparer les rues afin que leurs enfants puissent être scolarisés normalement! Et lorsque je prenais un rickshaw pour aller visiter Nazir et Owes (mes amis brodeurs de Srinagar), une fois sur deux le conducteur refusait d'aller jusqu'à leur maison car il ne voulait pas abîmer ses suspensions (ah bon? Il en avait?) dans les nids de poule qui ressemblaient plus à des repaires pour éléphants.
Et puis elles passent par des endroits bizarre, les rues...
Au dessus des lacs par exemple!
II- La composition du parc "automobile"
Mais ensuite, je pense que quelques photos parleront mieux que de longs discours...
La photo des chiens et des vaches vous montre un autre aspect des rues: celui où les meutes de chiens attaquent et vous attaquent. A cet endroit, il y a une vache morte. Si vous zoomez vous pourrez voir son cadavre. De chaque côté de la route il y
a deux bandes de chiens qui hurlent pour savoir quelle est celle qui va pouvoir se repaître du cadavre.
Vous me croirez si je vous dis que je ne suis pas passée sur cette route, entre les deux meutes? Et que j'ai fait un grand détour pour les éviter?
Et bien sûr la liste des "véhicules" que j'ai photographiés circulant sur la chaussée n'est pas exhaustive: il manque les chèvres, les poules, les singes, les éléphants, les tanks militaires (qui n'arrangent pas l'état des routes), les buffles qui sont beaucoup plus imposants que les vaches (oui, je sais sur cette photo c'est une vache!) qui cherchent leur pitance dans les poubelles de la ville... bref la ménagerie Pinder en liberté.
III- Le code de la route.
Le quoi? Le c.o.d.e de la route? C'est quoi cela?
J'ai appris très rapidement quelques règles essentielles pour survivre:
Laisser TOUJOURS la priorité aux bus et aux camions, quelque soit l'endroit où ils roulent. S'ils vous dépassent, ils vous serrent et vous envoient dans le fossé. S'ils vous croisent, ils roulent sur votre voie et vous percutent de plein fouet. Bref, une fois sur deux il vaut mieux s'arrêter pour les laisser passer.
Laisser TOUJOURS la priorité que soit à gauche ou à droite. On roule à gauche et donc la priorité est censée venir de la gauche. Que nenni. La priorité est à celui ou celle qui la prend. Et à chaque croisement on risque sa vie car tout le monde veut passer en même temps.
Laisser TOUJOURS la priorité même à ceux qui arrivent face à vous sur VOTRE voie. Parfois, je roule tranquillement sur ma voie, tout droit, sans voie secondaire qui débouche ni bus dont les klaxons hurlant me font sursauter à chaque fois. Et bien je suis quand même obligée de m'arrêter car MA voie est totalement prise par une nuées de scooters et de motos qui arrivent en face et n'ont aucunement l'intention de me laisser ne serait-ce que vingt centimètres pour que je puisse passer!
S'il y a un code de la route en Inde, il se résume brièvement en cinq mots: la loi du plus lourd.
PS/ La mise en page c'est n'importe quoi. Et pourtant j'ai essayé plusieurs fois de tout remettre correctement mais ce cjkolnperg am^g,iàaêùq de site n'en fait qu'à sa tête!!!!
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