

Je suis seule sur ma terrasse ce matin. Le jour se lève à peine mais le thermomètre frôle déjà allègrement les 35° et moi je ne suis pas comme les lourdes pales du vieux ventilateur accroché au toit du pandal. Je ne brasse pas d’air… Pas la force!
Pandal ? Vous avez dit pandal ? Comme je n’ai pas trouvé la définition de ce mot sur internet, je vous précise qu’il s’agit d’un genre de grand auvent construit en troncs d'arbres et en feuilles de palmes, regardez la photo.
Très intelligement, j’ai choisi la saison la plus chaude et plus exactement le mois le plus chaud pour retourner en Inde où je compte bien finir (enfin) le best seller que la planète entière attend, j'ai nommé le fameux livre commencé il y a plus de cinq ans dans les pages du website des années laser et dont le working title est "Spielberg and me, the steal of the century", in english in the text. NDLR : l'explication du pourquoi du comment du titre en anglais vous sera révélé un peu plus tard. ;-)
Très intelligement, j’ai choisi la saison la plus chaude et plus exactement le mois le plus chaud pour retourner en Inde où je compte bien finir (enfin) le best seller que la planète entière attend, j'ai nommé le fameux livre commencé il y a plus de cinq ans dans les pages du website des années laser et dont le working title est "Spielberg and me, the steal of the century", in english in the text. NDLR : l'explication du pourquoi du comment du titre en anglais vous sera révélé un peu plus tard. ;-)
A moitié allongée, je devrais dire écroulée, sur un fauteuil en rotin, je pense qu'il va me falloir bientôt me mettre au travail. Mais la chaleur ne m'aide pas. Je regarde les plantes en respirant doucement pour ne pas faire couler la sueur qui s’accumule au dessus de mes sourcils. Je tends la main vers la table basse et bois lentement mon café à la manière des gens du nord. A part que je remplace le morceau de sucre par une cuillérée de lait concentré sucré ! Suante, transpirante mais toujours gourmante !
Aujourd’hui mon moment de tranquillité quotidien est troublé par un hôte indésirable. Il ne s’agit ni d’une corneille, ni d’un écureuil, ni d’une de ces grosses chauve souris qui provoquent la fureur de Bonnie en s’aventurant sur « sa » terrasse. Non ce matin j’ai droit à la visite d’un énorme singe. Il s’est assis sur la rambarde de la terrasse et regarde d’un air dédaigneux Bonnie qui bondit et rebondit dans sa direction tout en aboyant furieusement, bien que le singe fasse plus de deux fois sa taille. Faut dire qu’après le coyote qu’elle a affronté en Californie… la puce n’a plus peur de grand-chose. Par contre Rani, alors qu’elle fait deux fois la taille de Bonnie, s’enfuit dans la maison. Mais il est vrai que ce n’est encore qu’un bébé mongroil, les chiens kashmiriens. Je suis quand même un peu inquiète pour mon zébulon à pattes et je me lève. Il faut que j’arrive à moins d’un mètre du singe pour que celui-ci daigne bouger. Il déambule tranquillement sur la rambarde et s’éloigne, sautant de terrasse en terrasse vers d’autres pandals (pandaux ?!!) plus cléments ! Je préfère le regarder partir que descendre chercher mon appareil photo. S’il revient, promis je lui tire le portrait.
Lorsqu’il a disparu je retourne à mon occupation favorite accompagnant mon petit déjeuner : sudokuker. Et pendant que je cherche où cet enfoiré de « 9 » peut bien se trouver, allez donc faire le tour du propriétaire tranquillement. Il fait trop chaud pour que je bouge.
Aujourd’hui mon moment de tranquillité quotidien est troublé par un hôte indésirable. Il ne s’agit ni d’une corneille, ni d’un écureuil, ni d’une de ces grosses chauve souris qui provoquent la fureur de Bonnie en s’aventurant sur « sa » terrasse. Non ce matin j’ai droit à la visite d’un énorme singe. Il s’est assis sur la rambarde de la terrasse et regarde d’un air dédaigneux Bonnie qui bondit et rebondit dans sa direction tout en aboyant furieusement, bien que le singe fasse plus de deux fois sa taille. Faut dire qu’après le coyote qu’elle a affronté en Californie… la puce n’a plus peur de grand-chose. Par contre Rani, alors qu’elle fait deux fois la taille de Bonnie, s’enfuit dans la maison. Mais il est vrai que ce n’est encore qu’un bébé mongroil, les chiens kashmiriens. Je suis quand même un peu inquiète pour mon zébulon à pattes et je me lève. Il faut que j’arrive à moins d’un mètre du singe pour que celui-ci daigne bouger. Il déambule tranquillement sur la rambarde et s’éloigne, sautant de terrasse en terrasse vers d’autres pandals (pandaux ?!!) plus cléments ! Je préfère le regarder partir que descendre chercher mon appareil photo. S’il revient, promis je lui tire le portrait.
Lorsqu’il a disparu je retourne à mon occupation favorite accompagnant mon petit déjeuner : sudokuker. Et pendant que je cherche où cet enfoiré de « 9 » peut bien se trouver, allez donc faire le tour du propriétaire tranquillement. Il fait trop chaud pour que je bouge.
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