Après avoir bu mon café sur la terrasse vers 6h30 du matin, seul moment où être en plein air est encore possible, j’ai alors deux options : la plage ou la piscine de la maison d'une amie… histoire de me mettre en forme en vue d’une journée qui va être encore bien éprouvante pour les nerfs.
Gide disait : " l'homme est incapable de choix et il agit toujours en cédant à la tentation la plus forte". Je peux vous assurer que pour moi, simple femme, ces deux tentations matinales provoquent une tempête dans mon pauvre cerveau encore embrumé par une longue nuit de sommeil qu'aucune onde alpha ni même beta ne vient jamais troubler.
Je vous sens moqueurs et peu enclins à me plaindre. C’est bien méconnaître les soucis qui envahissent votre vie lorsque vous quittez Paris. Vous en voulez la preuve ?
Je pense que vous commencez à comprendre que tout n'est pas rose pour moi qui ait décidé de quitter quelque temps la France pour - enfin - me remettre à écrire. Et si vous ne me plaignez pas encore, je vais vous le dire moi, ce que je pense vraiment: tous ces tourments je vous les dois à vous mes amis. (si après cette phrase je n'ai aucun commentaire, je comprendrai peut-être enfin que je n'ai... aucun lecteur!)
Si je veux continuer à écrire, faut que je me mette un commentaire à moi-même, sinon chose promise chose due, je vais devoir arrêter ce blog!
RépondreSupprimerNon, non continue même si je suis la seule à COM-Manter... L'air est frais ce matin, j'hésite entre un pull bleu rayé et 2 paires de chaussettes!!! ! L'air du Vexin, vivifiant. Je suis gourmande de tes nouvelles, et de ta future oeuvre. La piscine " un petit air de Marrakech"
RépondreSupprimerJe t'embrasse.
"Toutes des poufs sauf Thérèse"